Venez, allumons la flamme Et diffusons la lumière au loin. Terre aimée de la patrie, Tu es comme dans les temps anciens.
Alors, revenons maintenant vers notre mère patrie, Vers les senteurs des vergers de pamplemousses. Moissonnons dans l’allégresse, cachons la semence dans les larmes. Nos mains propres écriront avec la faux.
CHOEUR: Heyah, heyah hopah, Redressons-nous encore, Venez, construisons quelques routes. Heyah, heyah hopah, La fièvre nous emportera, S’il le faut, nous apporterons aussi les moustiques!
Nous gagnerons de la force à la sueur de notre front, Nous mettrons à part un coin du champ et la glanure de la récolte, ... Et d’une voix forte, nous chanterons des chansons mensongères.
CHOEUR
Avec Shmulik et Avremaliah ensemble, comme c’est beau! De nouveau la flûte joue des airs de pâtres, On chantonne, une tasse et un café Dans le salon, face au poêle électrique.
CHOEUR
On fredonne les chansons de la poétesse, Notre âme aspire à ce qui se passe la nuit, Face à la télévision, pour toi mer de Galilée, Et le chœur retourne vers Rachel.
Le poirier bourgeonnera, la pomme rougira. Dunia attend Vania, je le jure, ... Les chevaux sont nombreux, venez les cavaliers!
CHOEUR
Hey! Hopah, Hey! |